Les outils et le langage sont spécifiques à la connaissance et seront maniés par des spécialistes.
Modélisation en 3 dimensions d’un joueur de golf effectuant un swing à Paris
© Institut de Biomécanique Humaine Georges Charpak
La performance ne doit pas se faire au détriment de la santé !
Après un échauffement établi par le Dr Olivier Rouillon, médecin fédéral, c’est le moment de taper dans la balle.
Le joueur réalise 40 swings, en utilisant deux types de clubs de golf différents (en l’occurrence un fer 6 et un driver), avec comme consigne d’effectuer un swing le plus naturel possible, puis de sortir de sa zone de confort pour essayer d’aller plus loin. La trajectoire de la balle (vitesse, position, spin) est mesurée avec un système radar (Trackman). Toutes les données sont ensuite moulinées dans un logiciel et il devient enfin possible de comparer le mouvement lors d’un coup réussi à celui lors d’un coup raté, ou en tout cas moins bon.
Des informations en or pour les entraîneurs, même si le dispositif ne peut pas vraiment être destiné à un entraînement personnalisé. En effet, « la salle représente plus de 500.000 euros de matériel« , précise le Pr Philippe Rouch, directeur de l’Institut Georges Charpak. Mais ce n’est pas le seul objectif des chercheurs qui ont mis en place ce protocole.
A commencer par la prévention des blessures puisque « la performance ne doit pas se faire au détriment de la santé« , précise Maxime Bourgain qui effectue sa thèse sur ce sujet.
En outre, « certains médecins recommandent la pratique du golf après une opération de la hanche ou dans le cas de lombalgies. Notre protocole permet de caractériser l’activité de golf par rapport à la marche, et notre système de quantifier à quel point le swing sera plus sollicitant pour les hanches, les lombaires…«
La démocratisation des systèmes de mesure et autres applications d’analyse de la performance sont un élément tres positif pour les golfeurs (quel que soit leur niveau), les entraineurs et les préparateurs physiques. Ils ont permis de mener a bien des études sur de tres larges cohortes, de confirmer ou d’infirmer des idées classiquement établies dans la communauté du golf et de donner des tendances. Nous ne pouvons qu’insister sur la nécessite d’une mesure objective de la performance et du swing de golf afin de pouvoir asseoir une stratégie sur une analyse objective et quantitative.
La démocratisation des systèmes de mesure et autres applications d’analyse de la performance sont un élément tres positif pour les golfeurs (quel que soit leur niveau), les entraineurs et les préparateurs physiques. Ils ont permis ´ de mener a bien des études sur de tres larges cohortes, de confirmer ou d’infirmer des idées classiquement établies dans la communauté du golf et de donner des tendances.
Nous ne pouvons qu’insister sur la nécessite d’une mesure objective de la performance et du swing de golf afin de pouvoir asseoir une stratégie sur une analyse objective et quantitative.
Passons en revue du point de vue biomécanique du ralentissement avant d’introduire le «physique» de l’équation dans cette phase. La récession commence à la fin de la transition. Transfert de poids sur le pied avant se poursuit durant cette phase de la balançoire. La génération de couple est créé dans cette phase de la balançoire et il en est de la transition à travers le corps dans le club.
La majorité de couple dans cette phase de l’élan de golf est généré par les fessiers, ischio-jambiers, quadriceps, et le noyau du corps. (Fleisig, biomécanique du golf) Le couple créé dans la partie inférieure du corps crée accélération dans la partie supérieure du corps que l’énergie est transférée dans la tête de club. Des études indiquent une activité musculaire se produit également au sein du grand pectoral (poitrine), lattimus dorsi (haut du dos), et la coiffe des rotateurs muscles pendant le swing. (Geisler, de kinésiologie de l’élan de golf complète), le ralentissement est complète au moment de l’impact au cours de laquelle se produit avec la balle de golf.
Comme nous pouvons voir de nombreux groupes de muscles sont impliqués dans l’exécution de la phase descendante, et plus particulièrement les muscles du bas du corps. Ces muscles (fessiers, ischio-jambiers, quadriceps) sont responsables du développement de couple dans cette phase de l’élan de golf. Le couple est l’évolution du pouvoir dans un modèle de mouvement de rotation. Puissance par rapport à l’élan de golf est mesurée par la vitesse tête du club, et plus la vitesse de la tête de club plus loin, la balle sera Voyage.
Tout cela renvoie à besoin d’un développement de couple dans l’élan arrière si le désir est d’augmenter la vitesse de la tête du club de votre swing. En dehors de l’amélioration de l’efficacité avec laquelle l’exécution de la phase de ralentissement se produit, la seconde variable d’augmenter le couple (électricité) de développement dans le ralentissement de l’activité grâce à la formation de votre système musculaire.
Le processus par lequel nous pouvons atteindre cet objectif passe par l’utilisation de la salle de gym terrain d’exercices. Ces exercices accroître la capacité des muscles de votre corps inférieure à la puissance de sortie plus dans un mouvement de rotation (couple). Deux composantes physiques sont nécessaires pour que cela se produire. Le numéro un est le développement de plus de force dans les muscles du bas du corps, et numéro deux augmente la capacité de ces muscles à la puissance de sortie plus.
Les recherches indiquent en vue pour la fin de l’objectif des niveaux plus élevés de développement du couple de se produire des niveaux accrus de la force doit d’abord être développé dans les muscles du bas du corps. Golf Fitness exercices qui peuvent atteindre cet objectif fera appel à l’exercice intégrant les muscles du bas du corps impliquées dans le swing de golf. Ainsi que de les utiliser de manière fonctionnelle spécifique et transversale pour le swing de golf.
Gardez à l’esprit de couple est le développement du pouvoir dans un modèle de mouvement de rotation. Pendant la phase de ralentissement de l’élan de golf, de la musculature du bas du corps est responsable du développement de couple. Afin d’augmenter le couple de sorties de ces muscles de la première étape est d’augmenter la force musculaire de ces muscles. Le squat de physio-ball est un exercice de ce type qui peuvent accomplir cette tâche.
References :
[Alam et al., 2011] Alam, F., Steiner, T., Chowdhury, H., Moria, H., Khan, I., Aldawi, F., and Subic, A. (2011). A study of golf ball aerodynamic drag. Procedia Engineering, 13 :226–231. [Aoki et al., 2010] Aoki, K., Muto, K., and Okanaga, H. (2010). Aerodynamic characteristics and flow pattern of a golf ball with rotation. Procedia Engineering, 2(2) :2431–2436. [Betzler et al., 2012] Betzler, N., Monk, S., Wallace, E., and Otto, S. (2012). Effects of golf shaft stiffness on strain, clubhead presentation and wrist kinematics. Sports Biomechanics, 11(2) :223–238. [Cheetham et al., 2001] Cheetham, P., Martin, P., Mottram, R., and St. Laurent, B. F. (2001). The importance of stretching the “X-Factor” in the downswing of golf : The “X-Factor Stretch.”. Optimising Performance in Golf, pages 192–199. [Cheetham et al., 2008] Cheetham, P., Rose, G., Hinrichs, R., Neal, R., R.E., M., Hurrion, P., and Vint, P. (2008). Comparison of kinematic sequence parameters between amateur and professional golfers. Science and golf V : proceedings of the World Scientific Congress of golf. [Choi et al., 2014] Choi, A., Joo, S., Oh, E., and Mun, J. (2014). Kinematic evaluation of movement smoothness in golf : relationship